Série culte des années 90 : OZ

Oz est une série dramatique télévisée de 56 épisodes sur 6 saisons, créée par Tom Fontana et diffusée aux USA de juillet 1997 à février 2003 sur le réseau HBO.
En France, la série a été diffusée entre décembre 1998 et mars 2004 sur Série Club puis sur la chaîne M6.

Série culte de la fin des années 90 et du début des années 2000, Oz nous raconte le quotidien ulta violent au sein du pénitencier de haute sécurité d'Oswald et plus précisément la vie d'un groupe de détenus dans l'unite d'Emerald city. A Em City, fruit de l'idéaliste Tim Mac Manus se cotoîent à titre expérimental les criminels les plus endurcis et les délinquants de seconde zone dans le but de favorisé les relations sociales et une future réinsertion. Les prisonniers bénéficie d'une relative liberté de mouvement et ont quelques responsabilités à travers le travail toujours dans cet espoir de réhabilitation vers la vie civile, mais dans cet univers carcéral clos et étouffant se recrée une société terrifiante où dominent la haine entres les bandes ethniques, la violence, la peur et la mort.


"Oz est l'endroit où je vis. Oz est l'endroit où je vais mourir, où la plupart d'entre nous vont mourir. Ce que nous sommes importe peu. Ce que nous allons devenir ne compte pas".

Dessin animé rétro : Capitaine Caverne.

Capitaine Caverne (Captain Caveman and the Teen Angels) est une série animée de 40 épisodes créée par Joe Ruby et Ken Spears, produite par Hanna-Barbera Productions de septembre 1977 à juin 1980. Ce dessin animé à été diffusé à la même période en France dans l'émission de jeunesse « Les visiteurs du mercredi » sur la chaîne TF1.

Elle raconte l'histoire de trois jeunes filles, Brenda, Lili et Babette (toujours en tenues estivales même sous une tempête de neige !), qui résolvent différents mystères et enquêtes policières.Dans leurs aventures elle sont assistées par leur ami et véritable super héros de la série, le Capitaine Caverne, que les filles ont découvert emprisonné dans un bloc de glace, dans une caverne au fin fond du Tibet. Cet homme préhistorique est doté d'une force impressionnante et de ressources étonnantes cachées dans sa toison et sa massue. Un dessin animé rétro bien sympa et assez délirant que l'on pourrait comparer à un mix entre Scoubidou, Drôles de dames et La famille Pierreafeu.



" CAPITAINE.......CAVEEEEEERNE !!! "

Retrogaming : Parachute, Game and Watch Nintendo.

Parachute est un jeu électronique à cristaux liquides Game & Watch édité par Nintendo et  sorti en juin 1981 en version Wide Screen (3ième génération).


Le joueur contrôle un rameur dans une barque, grâce aux 2 boutons (gauche et droite) il est possible de déplacer le rameur sur 3 positions. Un hélicoptère placé en haut à droite de l'écran largue régulièrement des parachutistes. Le joueur doit rattraper le parachutiste avant qu'il ne tombe à la mer et se fasse dévorer par les requins. Chaque parachutiste qui va à la mer donne au joueur un malus matérialisé par une tête de requin à droite de l'écran. Au bout de 3 échecs la partie est terminée. Si le joueur atteint 200 points puis 500 points (1 point par parachutiste récupéré), les malus sont supprimés et une petite musique retenti. Il existe 2 type de jeu, type A et type B, la seule différence du jeu en type B est que les parachutistes peuvent ou non rester accrochés à un palmier et se décrocher de façon aléatoire ce qui augmente la difficulté du jeu.Une autre fonction permet de régler une alarme où à l'heure programmée, un singe secouant une cloche apparait à gauche de l'écran accompagné d'une sonnerie.

Film culte des années 80 : Rambo 1 First blood

Rambo 1 First Blood est un film d'action autant qu'un drame psychologique américain. Réalisé par Ted Kotcheff, sorti en 1982, avec comme acteurs principaux Acteurs principaux, Sylvester Stallone, Richard Crenna et Brian Dennehy, adapté du roman First Blood de David Morrell, ce film culte du début des années 80 est le premier volet d'une série de quatre centrés sur le personnage de John Rambo.

John Rambo, ancien béret vert et héros de la Guerre du Viêt Nam, erre sans but de ville en ville depuis son retour aux États-Unis. En voulant rendre visite au dernier de ses anciens compagnons d'armes, il apprend la mort de celui-ci des suites d'un cancer (causé par l'« agent orange » largement utilisé au Viêt Nam). Reprenant la route, il arrive dans une petite ville d'une région montagneuse afin de s'y restaurer. Mais le shérif Will Teasle, prétextant ne pas vouloir de "vagabond dans sa ville", le raccompagne à la sortie de la ville. Ulcéré, Rambo tente de faire demi-tour, mais il est alors arrêté sans ménagement par le shérif. Jeté en prison et maltraité par les policiers, Rambo se révolte et s'enfuit du commissariat. Après une dangereuse course-poursuite, il se réfugie dans les bois.


Traqué comme un animal, l'ancien soldat est contraint à la défensive et tue accidentellement un policier qui tente de l'abattre. Usant de son expérience acquise dans la jungle vietnamienne, Rambo neutralise ensuite les sbires de Teasle lancés à sa poursuite avant de s'en prendre au shérif. Le menaçant de son poignard, l'ex-béret vert lui conseille de ne pas s'acharner contre lui : "Fais pas chier, ou je te ferai une guerre comme t'en as encore jamais vu".Ignorant ces menaces, Teasle appelle la Garde nationale en renfort. Des moyens considérables sont déployés pour retrouver le fugitif et l'abattre sans sommation. Le colonel Samuel Trautman, ancien mentor de Rambo, intervient pour convaincre Teasle d'abandonner un combat perdu d'avance : face au soldat surentraîné, ils n'auraient aucune chance. Trautman contacte Rambo et tente de le convaincre de se rendre, mais ce dernier clôt la discussion en disant qu'ils ont versé le premier sang (first blood), pas lui. Acculé et blessé, il entre alors en guerre contre les autorités et jure de mettre la ville de Teasle à feu et à sang.

Rambo First Blood connut un succès considérable, notamment aux États-Unis, mettant en lumière les frustrations engendrées par la défaite camouflée de la guerre du Viêt Nam et le besoin de reconnaissance des soldats qui y avaient vu leurs idéaux bafoués.On peut y voir également une dénonciation des horreurs de la guerre, ainsi qu'une accusation grave contre une Amérique bureaucratique qui se moquerait des soldats partis combattre pour elle.

Retrogaming : Streets of rage sur Sega Megadrive.

Sorti sur Megadrive en 1991 Streets of rage est sans conteste LE Beat them all de la 16 bit de Sega, deux autres épisodes toujours sur la même console en feront une trilogie de référence toujours prisée par le fans de retrogaming.

Pour une fois le scénario n'est pas si vide que ça pour un beat them all, Adam Hunter, Axel Stone et Blaze Fielding, trois jeunes officiers de police tentent de créer une unité de combat spéciale pour lutter contre un syndicat du crime répandant violence et terreur dans leur ville autrefois prospère et paisible. Malheureusement leurs supérieurs hiérarchiques refusent de les aider, les uns par peur de s'opposer, et les autres s'étant laissés corrompre par l'organisation criminelle. C'est donc par leurs propres moyens et grâce à leur maîtrise des arts martiaux que nos trois héros vont devoir combattre l'organisation criminelle.Bon ok c'est pas transcendant non plus mais c'est déjà ça.


Street of rage est beat them all classique de part sont système de jeu néanmoins la palette de coups est assez étendue pour un jeu de 1991, chaque personnage dispose de ses propres enchaînements, ceux-ci varient selon qu'ils sont effectués à distance ou au corps à corps, une attaque spéciale sous forme d'une intervention d'un véhicule de police des plus dévastratrice est disponible une fois part niveau. Excellente idée des concepteurs des coups en coopération sont éxécutables en mode 2 joueurs et comme souvent dans les beat them all les personnages peuvent également interagir avec leur environnement en ramassant différentes armes (batte de baseball, barre à mine, bouteille, couteau) qui les aideront dans leur quête pacificatrice...ou pas (vous verrez ça en terminant le jeu lors du choix final).

Les graphismes sont de bons niveau sans être exceptionelle, une esthétique à mi chemin entre le comic et le manga donne toutefois une ambiance assez particulière a Street of rage. On pourra reprocher aux décors déclinés sur 8 niveaux d'être assez linéaire et sans grande suprise mais cet enchainement de rues est parfaitement exploitée et offre au joueur une relative liberté d'action. Les sprites possiblement affichés à l'écran sont nombreux et l'action est vraiment intense sans être trop bordélique, le tout soutenu par une maniabilté impeccable fait de ce beat them all sur Megadrive un hit rétro incontournable et des plus fun à jouer.

Publicité d'époque : marionnettes Boglins.

Boglins
"Affreuses" marionnettes en caoutchouc commercialisées par Mattel à la fin des années 80, les Boglins surfaient sur la vague des vilaines créatures telles que les gremlins, critters et autres goulhies. Un très beau packaging sous forme de cage ou elles étaient enfermées mais permettant aux enfants de les manipuler dans les magasins et bien sûr la possibilité d'animer les Boglins tels de vrais petits monstres ont contribué au  succès de ces jouets aujourd'hui encore prisés des collectionneurs et nostalgiques des jouets rétro. Voici donc une  publicité d'époque que j'ai préféré laisser en version originale américaine pour que vous puissiez vous remémorer à quoi ressemblait ces bestioles.

Related Posts Plugin for WordPress, Blogger...